mercredi 30 septembre 2020

Résolution 2020/3 sur le "Conseil de l'ordre des médecins"

 

CONSEIL NATIONAL DE TRANSITION
En présence de la Cour Suprême

Résolution du 20 septembre 2020, nº 2020/3 
Lors de la session extraordinaire du 14 au 20 septembre 2020 à Girona (Espagne)

Présidence : Eric Fiorile, 

PRÉAMBULE

Des Français issus de tous horizons se sont constitués en ministère public pour effectuer un bilan global de la situation française et internationale.

Réunis en décembre dernier lors du "Procès de Milan", ils ont adopté un concept novateur pour faire disparaître l'opposition chronique entre peuples et dirigeants.

Ce concept, une "Cour Souveraine", applicable dans chaque pays, permettra aux peuples de disposer d'informations véridiques indépendamment des grands médias, d'exercer un contrôle constant sur les activités gouvernementales, et d'assurer la pérennité de la civilisation par des règles humanistes.

Le fondement juridique en droit international ayant permis la création de cette Cour Suprême du Peuple est énoncé par l'article 1 alinéa 2 de la Charte des Nations Unies sous l'appellation : "Droit des peuples à disposer d'eux-mêmes".

Le président provisoire de cette Cour Suprême, M. Eric Fiorile, au constat de la gravité de la situation mondiale due à la pandémie COVID 19, a entériné les aspects juridiques des décisions prises lors des commissions durant le Congrès de Girona (Espagne).



APRÈS DÉLIBÉRATIONS ET SYNTHÈSES,


- Considérant que,
 
  • en raison d'un vaste projet militaire de contrôle des populations par la santé et l'alimentation, le régime nazi a imposé en 1940 à la France la création d'un "Conseil National de l'Ordre des médecins",
  •  soumis aux politiciens, cet organe a depuis plusieurs décennies favorisé les déviations mercantiles voulues par les laboratoires de l'industrie chimico-pharmaceutique en limitant ou interdisant peu à peu les formes de médecine indépendantes,
  •  cet organisme s'est clairement rendu complice des politiciens.
 
 
- En permettant la loi d'obligation vaccinale aux jeunes enfants, en dépit des lois, traités et codes déontologiques. Favorisant l'introduction de la "Nagalase" dans leur organisme qui provoque le développement de l'autisme et du cancer chez les jeunes enfants. (Plusieurs centaines de médecins par le monde ont été assassinés pour l'avoir découvert et voulu le révéler au public).
 
- En ne s'opposant pas à la propagande de peur lancée sur les populations par l'annonce d'une fausse pandémie, dite "Covid 19".
 
- En tentant de discréditer le Professeur Raoult, sommité mondialement reconnue dont les recommandations sont admises avec bénéfice dans de nombreux pays.
 
- En retirant la liberté de soins des médecins, et en permettant l'intervention directe des politiciens sur les traitements de santé, d'abord en interdisant des médicaments jusqu'alors librement disponibles, puis en intervenant contre les médecins agissant selon le serment d'Hippocrate.

- En incitant les médecins à la corruption en laissant les organismes sociaux octroyer des primes pour les déclarations officielles de morts du Covid 19, ouvrant la porte aux abus et fausses déclarations.
 
- En ne s'opposant pas au port d'un masque imposé par les politiciens en dehors de toute raison sanitaire.

- En cachant à la population le danger du port d'un masque qui diminue les défenses immunitaires, tant sur le plan individuel que public, tout en ne promouvant aucune recommandation pour renforcer le système immunitaire de la population.

- En ne s'opposant pas au génocide commis par les dirigeants ayant ordonné des mesures conduisant sciemment au meurtre de plusieurs milliers de personnes âgées dans les Ehpad.


Pour ces raisons et bien d'autres non citées ici, le Conseil National de Transition propose de soumettre à la Cour  Souveraine l'abolition de cette institution et son remplacement par un "Conseil Déontologique" INDÉPENDANT. 
 

L'impossibilité pratique pour la Cour Suprême de réunir actuellement les 3.000 citoyens tirés au sort parmi la population qui entérineraient définitivement cette mesure, conformément à ses règles de fonctionnement, oblige à surseoir à l'organisation du vote de cette mesure.

 

Pour les raisons ci-dessus exposées,

Vu "l'état d'urgence populaire" proclamé par la résolution 2020/2 de la Cour Suprême, le Conseil National de Transition, après décision favorable des commissions du Congrès de Girona, décide à cet effet les mesures préparatoires suivantes :

- Demande au Conseil des Sages de soumettre dès que possible à la Cour Suprême la proposition de remplacer les "Conseils de l'ordre des médecins" par des "Conseils déontologiques des professions de santé", indépendants du gouvernement.

- Ordonne à la NéoPol (police du peuple) de prendre les dispositions nécessaires pour assurer la sécurité des Professeur Raoult, Toussaint, Perrone et autres professionnels de santé respectueux du serment d'Hippocrate.

- Recommande à tous les membres du Conseil National de Transition d'adresser le moment venu une mise en garde officielle aux "autorités" médicales actuelles, dans le respect strict des instructions qui leur seront transmises ultérieurement.

 

Résolution approuvée à l'unanimité

Président de la commission pour la santé : Dr Bergeot

Président du Conseil National de Transition : Eric Fiorile 

Président de la Cour Suprême : Philippe Laurent































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